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Jamel Debbouze accusé par Smain de ne pas “avoir renvoyé l’ascenseur”

L'ex-collègue du Fondateur du Marrakech du Rire n'y va pas de main morte.

Ce mardi 2 août, Smaïn est revenu sur sa relation compliquée avec Jamel Debbouze sur BFMTV.com. Il a notamment regretté le manque de considération de son cadet après l’avoir soutenu à ses débuts.

Dans un long portrait publié sur BFMTV.com, ce mardi 2 août, l’humoriste de 64 ans s’est confié sur l’état de sa relation avec Jamel Debbouze. Si le premier a été un soutien de taille aux débuts de la carrière du second, en lui offrant son premier rôle au cinéma, Jamel a décidé de se détacher de son comparse. “J’aurais bien voulu qu’il me renvoie l’ascenseur, mais ce n’est pas l’ascenseur qu’il m’a renvoyé”, a regretté Smaïn.

Entre les deux hommes, tout commence au début des années 1990. À cette époque, Smaïn connaît une petite notoriété grâce à ses one-man-shows et ses quelques rôles au cinéma, dont le film césarisé L’Oeil au beur(re) noir. C’est à la ligue d’improvisation française qu’il fait la rencontre de Jamel Debbouze. Rapidement, Smaïn prend son cadet sous l’aile. Il parvient ainsi à convaincre le réalisateur Jean-Marc Longval de lui faire passer des essais pour le film Les 2 papas et la maman. “Je suis très heureux de lui avoir offert ce rôle”, a reconnu Smaïn auprès de BFMTV.com, avant de poursuivre : “Il avait la vis comica. Il était drôle. Il avait envie. Et je ne me suis pas trompé.”

En effet, Smaïn a raison de croire en son poulain. L’humoriste de 21 ans fait des étincelles et le film devient un succès en salles. En 1999, Jamel est propulsé au rang de star grâce à ses rôles dans des séries culte.Il décide alors de prendre ses distances avec son ancien ami. En 2004, dans une interview pour le magazine Première, Jamel Debbouz acte publiquement la rupture : Il caricaturait les rebeus de banlieue qui volent les portefeuilles, les sacs à dos, font les quatre cents coups, les 404, les 605. Il pouvait dire : ‘Les Français, levez les mains ; les Arabes, fouillez dans les poches.’ (…) Le keumé, malgré lui, nous faisait passer pour des singes.” Aujourd’hui, Smaïn se dit nostalgique : “C’est dommage. J’aurais bien aimé travailler avec lui.

 

 

BledNews

 

 

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