L’association Jossour a organisé à Rabat une rencontre autour de la parité. Toutes ou presque les associations féminines ont fait le déplacement pour débattre avec un parterre de juristes sur l’opportunité d’une loi cadre ou pas de la parité.
Le combat pour les droits es femmes et l’égalité des chances est loin d’être gagné. Militantes associatives, juristes, représentants d’institutions marocaines, conseil national des droits de l’homme se sont réunis pour réfléchir sur les lois qu’il reste à concevoir pour faire de la parité une réalité.
En France ou en espagne par exemple ou au Sénégal, les pays optent pour une l’égalité de la parité. En d’autres termes pour que la parité soit instaurée, il faut une loi. Encore faut-il que cette loi soit conçue et fasse adhérer politiques et militantes. C’est lion d’être partie gagnée. Pour Amine Benabdbellah, éminent professeur de droit constitutionnel, une loi cadre ne sert a rien car la constitution q déjà planté le décor et parle de parité. C’est aux politiques de mettre en place la parité. Il s’agit donc d’une volonté er non d’une loi. Les débats ont été fructueux. Ceci dit aucune décision n’a a ce jour été prise. Le Maroc optera-t-il pour une loi-cadre?
Bled.ma ( Rabat) A.D
